Au cours de cette étape, Henri Pélissier tente de renverser le classement général. Dans le sillage de Jean Alavoine, il attaque de nouveau dans la montée du Ballon d'Alsace, dernière difficulté de la douzième étape vers Belfort. Vainqueur en solitaire à l'arrivée, après la crevaison d'Alavoine, il reprend 2 min 37 s à Philippe Thys, mais son retard sur le coureur belge est encore de 31 min 50 s[1].
Jean-Paul Bourgier, Le Tour de France 1914 : De la fleur au guidon à la baïonnette au canon, Toulouse, Le Pas d'oiseau, , 159 p. (ISBN978-2-917971-14-7)..