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Mon jubilé

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Mon jubilé
Publication
Auteur Anton Tchekhov
Titre d'origine
Moï Ioubileï
Langue Russe
Parution dans
La Libellule no 27

Mon jubilé (en russe : Moï Ioubileï) est une nouvelle d’Anton Tchekhov, parue en 1880.

Historique[modifier | modifier le code]

Mon jubilé est publiée dans la revue russe La Libellule, no 27, du , sous le pseudonyme Un poète prosateur[1].

C’est une des nouvelles les plus courtes de l’auteur avec trente-sept lignes.

Résumé[modifier | modifier le code]

Un jeune auteur écrit aux adolescents du pays pour leur faire part de sa déception d’écrivain. Il a écrit deux mille textes depuis trois ans, les a expédiés à ses frais (l’équivalent du prix d’un cheval) à toutes sortes de journaux, mais n’a reçu aucune réponse positive.

Il arrête ce jour sa carrière d’écrivain. Y a-t-il une personne qui ait reçu autant de réponses négatives ?

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Voir Dictionnaire Tchekhov, page 189, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010 (ISBN 978-2-296-11343-5)

Édition française[modifier | modifier le code]

  • Jubilé, traduit par Madeleine Durand avec la collaboration d’E. Lotar, Vladimir Pozner et André Radiguet, dans le volume Premières nouvelles, Paris, 10/18, coll. « Domaine étranger » no 3719, 2004 (ISBN 2-264-03973-6)